segunda-feira, julho 2

Mais compras...

Na sequência de um post anterior, que até nem teve assim muito eco no público, apetece-me reforçar a ideia de falta de respeito.

Ainda neste fim-de-semana estava eu a sair da grande superfície aqui perto de onde vivo, e passei junto ao hiper ali instalado.
Passavam 15 minutos da meia-noite e ainda estavam duas caixas a trabalhar. Ou seja, as operadoras iriam sair do seu trabalho perto da uma da manhã.
Provavelmente isto não é assunto interessante, eu sei. Provavelmente alimentar a ideia de que não nos podemos servir dos outros até ao tutano, será considerado subversivo ou desinteressante.
Mas eu, que até nem perfilho nenhuma ideologia partidária (o que até já me tem causado alguns dissabores), mantenho a ideia que, desta forma discreta e sub-reptícia como nos vão organizando e catalogando a vida, acabamos por ser todos escravos de um sistema que é extraordinariamente criativo quando se trata de manipular.

Continuo na minha que, disfarçar aumento de emprego à custa daquilo que eu considero necessidades básica (que, acho eu, vão muito para além de procriar, comer, etc. etc.) é a forma mais cómica, se não fosse trágica, de manipular a nossa vida.

Por acaso nunca ouvi falar de desemprego na China… Nem em Taiwan e outros. Ouvi, isso sim, que essas pessoas (são pessoas não são?) não têm dias de descanso, nem férias nem regalias.
Parece-me que nos EU e por essa Europa fora, e quiçá África, Austrália, etc, o paraíso se reinventou, tanta é a felicidade das pessoas têm cada vez menos tempo para si mesmas.
Afinal, para que queremos nós o tempo livre? Para discutirmos, irmos ao cinema, ao campo, à praia, ao raio que nos parta desde que isso nos dê prazer?

Ora acabemos lá com esta palhaçada.
Para quê perder tempo como que é inevitável?

3 Comentários:

Às 02 julho, 2007 19:48 , Blogger Ka_Ka disse...

Ah ! non ! c'est un peu court, jeune homme !
On pouvait dire... Oh ! Dieu !... Bien des choses en somme.
En variant le ton, -par exemple, tenez :
Agressif : "Moi, monsieur, si j'avais un tel nez
Il faudrait sur-le-champ que je l'amputasse !"
Amical : "Mais il doit tremper dans votre tasse :
Pour boire, faites-vous fabriquer un Hanape !"
Descriptif : "C'est un roc!... C'est un pic!... C'est un cap!...
Que dis-je, c'est un cap?... C'est une péninsule!"
Curieux : "De quoi sert cette oblongue capsule ?
D'écritoire, monsieur, ou de boîte à ciseaux ?"
Gracieux : "Aimez-vous à ce point les oiseaux
Que paternellement vous vous préoccupâtes
De tendre ce perchoir à leurs petites pattes?"
Truculent : "Ca, monsieur, lorsque vous pétunez,
La vapeur du tabac vous sort-elle du nez
Sans qu'un voisin ne crie au feu de cheminée ?"
Prévenant : "Gardez-vous, votre tête entraînée
Par ce poids, de tomber en avant sur le sol !"
Tendre : "Faites-lui faire un petit parasol
De peur que sa couleur au soleil ne se fane !"
Pédant : "L'animal seul, monsieur, qu'Aristophane
Appelle Hippocampéléphantocamélos
Dut avoir sous le front tant de chair sur tant d'os !"
Cavalier : "Quoi, l'ami, ce croc est à la mode?
Pour pendre son chapeau, c'est vraiment très commode !"
Emphatique : "Aucun vent ne peut, nez magistral,
T'enrhumer tout entier, excepté le mistral !"
Dramatique : "C'est la mer Rouge quand il saigne !"
Admiratif : "Pour un parfumeur, qu'elle enseigne !"
Lyrique : "Est-ce une conque, êtes-vous un triton ?"
Naïf : "Ce monument, quand le visite-t-on ?"
Respectueux : "Souffrez, monsieur, qu'on vous salue,
C'est là ce qui s'appelle avoir pignon sur rue !"
Campagnard : "Hé, ardé ! C'est-y un nez ? Nanain !
c'est queuqu'navet géant ou ben queuqu'melon nain !"
Militaire : "Pointez contre cavalerie !"
Pratique : "Voulez-vous le mettre en loterie ?
Assurément, monsieur, ce sera le gros lot !"
Enfin parodiant Pyrame en un sanglot:
"Le voilà donc ce nez qui des traits de son maître
A détruit l'harmonie ! Il en rougit, le traître !"
- Voila ce qu'à peu près, mon cher, vous m'auriez dit
Si vous aviez un peu de lettres et d'esprit :
Mais d'esprit, ô le plus lamentable des êtres,
Vous n'en eûtes jamais un atome, et de lettre
Vous n'avez que les trois qui forment le mot : sot !
Eussiez vous eu, d'ailleurs, l'invention qu'il faut
Pour pouvoir là, devant ces nobles galeries,
Me servir toutes ces folles plaisanteries,
Que vous n'en eussiez pas articulé le quart
De la moitié du commencement d'une, car
Je me les sers moi-même, avec assez de verve,
Mais je ne permet pas qu'un autre me les serve.

 
Às 03 julho, 2007 11:44 , Blogger Ant disse...

Blue, ajuda-me a perceber o tem isto a ver com o texto... :)

 
Às 03 julho, 2007 23:41 , Blogger António disse...

Olá!
Oportunas as tuas observações.
Mas uma coisa te posso dizer: as coisas mudam, mudam, mas acabam sempre por ser muito parecidas com algo que já aconteceu no passado.
Diria, usando uma expressão de que não gosto:
"A História repete-se".

Abraço

 

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